Il a confisqué mes vêtements d’homme et les clés de ma cage de chasteté

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il y a 1 semaine

Après quelques échanges d’email, j’ai fini par me dévoiler un peu. Il faut dire que Marc est un communiquant qui sait mettre les gens à l’aise. Je voulais, pendant ces vacances, me travestir et vivre quelques jours en femme puis tester quelques trucs avec le matériel mis gratuitement à la disposition des clients.

Lorsque Marc m’a proposé comme jeu de me faire un accueil, comme si j’arrivais dans un centre de redressement pour délinquant. Cela m’a troublé, excité et inquiété en même temps. Son jeu consistait à m’accueillir de façon pas aimable et en m’envoyant me doucher, puis à me confisquer, pendant 24 heures, une partie de mes effets personnels. Lui ayant parlé de mes fantasmes, il s’agissait principalement de me prendre mes habits pour ne me laisser que des vêtements féminins, puis les clés de ma cage de chasteté.

Autant dire que pendant le mois qui précédait mon arrivée au gîte, ma main droite n’a pas chômé quand je me faisais des films « « Zérotriques » ». Oui mais au plus la date approchait, au plus j’étais tendu et me posais des questions. Je n’avais pas peur de lui, mais de moi et surtout, sur mes capacités de vivre réellement ce trip. Malgré ces inquiétudes, j’ai fait deux sacs de voyage comme demandé, l’un avec mes vêtements masculins, l’autre avec mes vêtements pour ma féminisation et « jouets » intimes. Savoir qu’il allait rien que dans ce sac découvrir la partie cachée de mon intimité, me perturbait vraiment.

Dire qu’à mon arrivée au gîte j’étais blême est un euphémisme. Marc m’attendait puisqu’il savait précisément où j’en étais du trajet, puisqu’il m’avait demandé de partager ma position sur Waze. Il m’a guidé pour que je gare ma voiture devant mon gîte, puis désigné une cantine en métal grande ouverte pour que j’y dépose mon sac de voyage contenant mes effets masculin, en me disant d’en sortir ma trousse de toilette. Le ton de sa voix était particulièrement directif et ne laissait par réellement le choix.

  • Avez-vous votre cage de chasteté sur vous ? Me demanda Marc.

  • Non monsieur !

  • Alors filez à la salle de bain et mettez-la de suite, si vous ne voulez pas finir au cachot ou prendre une fessée ! Si c’est un modèle clé souris, laissez les clés sur le lavabo, je viendrai les prendre quand vous serez sous la douche. Si c’est un cadenas classique, donnez-les moi de suite.

C’est à ce moment là, que j’ai commencé à me demander ce que je foutais là !

Devant son autorité naturelle, ne laissant pas réellement la porte ouverte aux négociations, je lui ai donné les clés de ma cage de chasteté que j’ai prise à la main dans le fameux sac « intime ». Ultra gêné je me suis enfui à la salle de bain. Par chance, il y a une cabine de douche ce qui m’a permis de me cacher une fois nu. Pour mettre une cage de chasteté équipée d’un anneau cockring, il ne faut pas que votre verge ait commencé à gonfler. Pour une fois, je n’ai pas eu de mal à la mettre, car j’étais très perturbé.

Ce gentil « rustre » est entré dans la salle de bain sans frapper à la porte pour confisquer tous mes vêtements et ne me laisser qu’une culotte féminine, un soutien-gorge et une robe d’été. La douche terminée, si, une fois séché j’ai enfilé ces sous-vêtements et la robe en mode zombie, je n’arrivais pas à sortir de la salle de bain !

  • Tu te bouges les fesses la gueuse, ou il faut que je vienne t’aider ? A crié Marc devant la porte.

Heu... ! Quand il a poussé la porte j’ai compris que je n’avais pas le choix et surtout, que j’allais être vu habillé en femme, une première bien difficile pour moi, qui suis assez timide de nature.

  • Tu es très belle comme ça ! M’a indiqué Marc avec un air sérieux et sans la moindre moquerie. Essaies ces chaussures, elles devraient t’aller.

C’étaient des sandales à talon plat en 44, elles étaient un peu grandes pour moi mais grâce aux lanières, elles me tenaient aux pieds. Par chance le talon ne faisait que 5 centimètres et me permettait de marcher sans trop de risque de chute. C’est dans cette tenue qu’il m’a fait visiter les lieux ! ! ! Avec lui, tu n’as pas le temps de te remettre, les choses s’enchaînent comme si tout ce qu’il propose était « normal ».

Nous avons donc commencé par traverser le parc, puis longé son potager pour arriver au parcours santé privé. Ce qui m’a surpris et mis à l’aise, c’est qu’il me racontait l’histoire des lieux, comme s’il n’en avait rien à faire de ma tenue. Marc semble réellement habitué aux extravagances de ses clients, pour lui tout est « normal ». (Répétition volontaire)

Après la visite du verger, où je regardais avec envie les fruits bios sur les arbres que j’avais le droit de cueillir si j’en avais envie, nous sommes revenus vers le bâtiment, un ancien moulin restauré. Lorsque nous sommes passés sur la terrasse couverte, il m’a indiqué que je pouvais utiliser le barbecue à ma guise puis, avec un regard coquin, les inviter à prendre un verre en assurant le service comme une soubrette si j’en avais envie. A ce moment là, je n’avais pas du tout envie de chez « Certitude » de rencontrer sa femme en étant ainsi vêtu.

Le piège comme vous le verrez plus tard, est que dans ces lieux de perdition on fait des choses, que l’on n’aurait jamais imaginé faire un jour !

Après être passé à côté de la piscine me faisant de l’oeil jusqu’au moment où, il m’a indiqué qu’ils pouvaient me prêter un maillot une pièce..... (oups) nous sommes entrés dans le donjon. Et là, mes neurones se sont aussitôt mis à gambader au point que, de ma cage de chasteté, Zézette m’a presque crié qu’elle se sentait à l’étroit. Bien évidement, ce sadique vous donne des explications, qui n’ont qu’un but, vous donner de « vraies, bonnes mauvaises idées » comme il se plait à le dire et qui.... vous excite. La chambre Love avec ses miroirs, sa cage sous le lit et son pilori, créent une ambiance particulière n’invitant pas à dormir. La pièce de la nurserie ne m’a pas excité, mais ne doit pas laisser de marbre les ABDL.

En me raccompagnant à mon appartement, il a fait une étape dans la pièce aux secrets qui n’est accessible qu’en sa présence. Oh put... con ! Désolé de l’expression, mais cela vous surprend et exciterait un curé décédé depuis 48 heures. Pourquoi ? Parce que c’est l’antre du diable. Il y a des vêtements pour quasiment tous les fétichismes, des corsets, des robes, des carcans, une camisole de f o r c e, une chaise roulante pour la douche servant sûrement à des choses que l’on ne fait pas aux personnes handicapées et des accessoires divers.

  • Si quelque chose vous fait envie, nous pouvons vous le prêter, il suffira de le demander. Surtout ne soyez pas gêné, ici tous les fantasmes, délires et fétichismes sont permis, les gens viennent pour ça, vous auriez tord de vous priver d’expérience et de plaisir.

A la suite de quoi, il m’a invité à quitter ce lieu de tentation et laissé devant la porte de l’appartement, en m’invitant à lire le contenu des deux classeurs posés sur la jolie table basse.

OUF, enfin seul !

J’ai donc ouvert le réfrigérateur pour ranger le contenu de ma glacière où j’ai découvert qu’il y avait quelques fruits, un concombre, deux tomates, une bière et un coca. Ce n’est pas le coca que j’ai pris, j’avais besoin d’un petit remontant après cet accueil particulier, et cette visite traumatisante pour une nonne.

Assis sur le canapé, j’ai regardé sans m’attarder le premier classeur contenant des informations pratiques pour le séjour et des propositions de visites, sorties, randonnées avec des itinéraires. La lecture du deuxième classeur a mis le feu aux poudres de ma libido et regretté d’être sous cage de chasteté !

Ce classeur, appelé « classeur des vraies bonnes mauvaises idées » contient des tonnes d’idées de jeux et pratiques pour tous les fétichismes. Il y a même des scénarios de selfbondage, des propositions de jeux pouvant être organisés par le gîte comme, tester la camisole de f o r c e, réaliser un Espace Game dans la tenue au choix des clients et autres délires.

Il est précisé que si on réalise des jeux type selfbondage, il est conseillé d’adresser un texto pour l’indiquer afin qu’ils puissent nous secourir en cas de loupé. Le principe étant d’adresser un texto, indiquant que si à une certaine heure nous n’en avons pas envoyé un second pour dire RAS, ils viendraient nous porter secours.

Il est aussi précisé qu’ils ne viendront pas au donjon ou à la chambre Love, pendant notre séjour afin que l’on ne soit pas gêné. Ils rajoutent que l’on peut jouer dans les parties communes comme les extérieurs ou la piscine et que si ils nous aperçoivent, nous ne devons pas être gêné puisqu’ils sont blindés et habitués puis eux aussi des joueurs coquins.

Pendant les premières vingt-quatre heures, j’ai été sage. J’ai presque vécu comme une religieuse. J’ai même mis une chemise de nuit pour dormir, c’est dire... Hormis me promener, ramasser quelques fruits et prendre un bain dans la piscine, je n’ai rien fait de particulier. Enfin si, un peu en fin d’après-midi, en allant regarder de plus près les jouets et accessoires du donjon. Ce fut une « erreur » car je me suis mis dans un état d’excitation de folie, en prenant le risque de faire exploser ma cage de chasteté.

Cela m’a emmené à regretter d’avoir demandé qu’ils gardent les clés de ma cage, pendant la durée de mon séjour. Quel « con » ai-je été sur ce coup là.

Ayant commandé un repas, je m’attendais à ce qu’ils me restituent les vêtements classiques. Et bien non, Marc m’a indiqué qu’ils ne me donneraient les clés du cadenas de la cantine, qu’après le repas. Dans mes « petits souliers » un peu trop grand pour moi, je me suis donc rendu dans la salle de restauration, où j’ai rencontré Madame. Ma tenue lui a posé autant de problème que si j’avais été en survêtement ! Elle n’en avait vraiment rien à faire que je sois travesti.

Pendant le repas nous avons parlé de divers sujets, ils m’ont conseillé pour les sorties touristiques à faire en fonction de mes envies. A la fin de la soirée, j’ai du demander les clés du cadenas de la cantine. Ils avaient carrément oublier ce qui est un détail pour eux !

Le gentil « rustre pervers » m’a juste demandé devant sa femme, si cela ne pouvait pas attendre le lendemain matin, pour lui éviter de remonter chez eux. Généreux dans l’âme, pour épargner ses jambes, j’ai accepté. Enfin pas que,.... car me sentir « obligé » ne me déplaisait pas.

De retour dans mon appartement, impossible de trouver le sommeil une fois couché. Je suis donc allé au donjon pour essayer quelques accessoires et --> me faire du mal dans la culotte, en essayant quelques carcans et jouets de contrainte. J’ai même essayé les menottes puisque la clé était rangée avec. Après m’être installé sur le banc à fessée, l’idée m’est venue de leur demander de m’installer la machine à fessée pour qu’un soir je me ... à défaut de me ...

Le lendemain, Marc m’a rendu les clés de la cantine, afin que je puisse aller me balader et faire du tourisme.

La semaine est passée trop vite ! Entre mes jeux solitaires, mes petits selfbondages, le test de la camisole de force (durée décidée avec un dé), un espace game, une balade en 4x4 et un grand tour de vélo en sa compagnie, je n’ai pas vu le temps passer. La machine a fessée n’est pas qu’un simple jouet d’après mes fesses. Le dernier jour, il m’a proposé de faire un peu d’Urbex mais seulement si je sortais en femme. Heu... ? J’ai fini par accepter. Il est vrai que là où il m’a emmené, nous n’avons croisé personne hormis sur la route quand nous roulions ce qui ne m’a pas exposé.

Nous étions fin septembre, quand mon séjour prit fin. Le samedi matin, après l’état des lieux, madame a remarqué un détail pas plus gros qu’une poussière. En fait, ce n’était qu’un prétexte à ce qui va suivre. Cet « enfoiré » de Marc avait prévu une embrouille, pour ne pas me rendre les clés de ma cage de chasteté. Sa chérie complice, affichait un grand sourire en sachant ce qu’il allait me proposer.

  • L’état de lieu impose une sorte de pénalité qui ne sera pas financière, rassurez-vous, elle sera décidé par un dé. Vous lancez un dé qui indiquera un chiffre. Je remplace votre cadenas à clé par un cadenas à combinaison, combinaison que vous n’aurez pas. Si le dé indique 3, mon épouse vous enverra donc la combinaison par email dans 3 semaines !

J’ai accepté de jouer, parce que madame me défiait du regard. J’ai eu de la chance au dé puisque je ne suis pas tombé sur un 6. Mais en faisant un 4, j’ai quasiment fait LockTober.

FIN

Si ce gîte pour fétichistes existe vraiment, cette histoire érotique est fictive. Elle ne fait que vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichiste en étant célibataire. Si vous êtes seul nous pouvons donc vous accompagner un peu si VOUS le désirez.

Cela peut évidement être totalement différent en fonction de VOS envies et fétichismes tout comme si vous venez en couple ou avec un complice.

TSM

Visiter site du gîte fétichistes http://gitefetichistes.com/

Très amusant ! Et tout à fait dans ton esprit TSM. Puisse cette histoire érotique fictive donner envie à certains de la vivre en réel.
Bonjour:un scénario qui me ^plairait bien💖
Quelles vacances de reve ! Pouvoir s’amuser sans etre jugé, merci pour ces histoires qui permettent de s’evader !
très tentant , qui saï
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